La nouvelle révolution des vaccins

La nouvelle révolution des vaccins

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Hors-série Pour la Science n°113 – novembre – décembre 2021 (papier)

La nouvelle révolution des vaccins

Tout a commencé par Blossom! C´est la vache qui a transmis sa maladie, la vaccine, à une femme, Sarah Nelmes, dont le contenu des pustules a ensuite été inoculé à un jeune garçon, James Phipps. C´était le 14 mai 1796, et en procédant de la sorte le médecin britannique Edward Jenner théorisait la vaccination. Ainsi, à partir d´une maladie, on en soignait une autre, en l´occurence la variole.

Plus de deux cents plus tard, rien n´a changé, ou presque. Eduquer l´organisme à se défendre contre un agent pathogène grâce à une version plus ou moins proche et surtout moins virulente de celui-ci ou un de ses composants.

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Pour la Science

Commentaire très intéressant lu sur Facebook 

Il n’y a pas vraiment de dilemme… ce numéro de « pour la science » est excellent, écrit par des scientifiques et non des journalistes. Quant à la campagne antivax , elle est orchestrée par les labos pharmaceutiques !

Je suis certainement complotiste, mais regardons simplement à qui le « crime » profite. Il y a 4 éléments:
1. la technologie des vaccins de synthèse permet d’obtenir, à maladie égale, des vaccins entre 5 et 10 fois plus efficaces que les vaccins classiques à virus génétiquement modifiés et avec un taux d’effets secondaires immensément plus faible (environ 20 fois). Ceci met en danger les filières classiques de fabrication de vaccins toutes maladies infectieuses confondues (que ce soit pour la diphtérie, le tétanos ou tout le reste) et donc les ventes des labos qui n’ont pas accès à la technologie des vaccins de synthèse (dits « à ARNm » mais qui ne contiennent en réalité pas d’ARNm mais une molécule qui lui ressemble)
2. Les vaccins de synthèse contre le covid sont une application des recherches de Katalin Kariko (fondatrice de Bio-ntech) sur de futurs (imminents) vaccins « sur mesure » contre de nombreux cancers. Or une chimio qui dure 15 ans rapporte bien plus aux labos qu’un vaccin en 2 ou 3 injections: les chimiothérapies anticancéreuses (qui donnent plus de longues survies médicalement lourdes que de guérisons) sont très profitables
3. revenant au covid, les tests coûtent plus cher et donc rapportent plus que les vaccins
4. (un point probablement accessoire) les vaccins de synthèse sont produits directement par des « imprimantes chimiques » sans faire appel à des cultures cellulaires et donc risquent de faire perdre un débouché au commerce de tissus foetaux humains.
J’ai moi-mêrme travaillé dans la recherche biomédicale et j’ai appris « the hard way » la réaction violente de certaines institutions de l’industrie biomédicale face au risque d’une avancée technologique qui permettrait de faire faire des économies à la « Sécu ». Le trou de la Sécu n’est pas perdu pour tout le monde.

Petit rappel sur l’importance du lavage de mains

Pourquoi faut-il se laver les mains selon une méthode bien précise ? Parce que 80 % des infections sont transmises par les mains. Or, un bon nettoyage des mains de 30 secondes, permet d’éliminer 99,99% des #bactéries. Mais, depuis cet été, on constate un relâchement dans le respect systématique de ce geste barrière essentiel (enquête IFOP Octobre 2020 : bit.ly/2MlAmYg). Comment bien se laver les mains ? – Tout d’abord avec de l’eau et du savon. – Se mouiller les mains abondamment. – Appliquer suffisamment de savon et frotter paume contre paume par mouvement de rotation. – Puis le dos de la main gauche d’avant en arrière avec la paume de la main droite et vice-versa. – Puis les espaces entre les doigts, paumes contre paumes, les doigts entrelacés en exerçant un mouvement d’avant en arrière. – Puis le dos des doigts en les tenant dans la paume des mains opposées avec un mouvement d’aller-retour. – Se laver les mains pendant 30 secondes en tout. – Il faut frotter suffisamment entre les doigts et sous les ongles pour bien éliminer tous les germes mais aussi le bout des doigts, la paume et l’extérieur des mains, les jointures et les poignets. – Rincer les mains à l’eau et sécher. Et dans notre quotidien, quels sont les points de contact les plus sensibles ? 1. Notre téléphone mobile qui peut contenir, en moyenne, plus de 17 000 bactéries. 2. Le volant de notre voiture qui contient à lui seul 800 bactéries au centimètre carré. 3. Les billets de banque qui contiennent 26 000 bactéries chacun. 4. Les poignées de pompes à essence où l’on dénombre 12 000 fois plus de germes que sur une cuvette de toilettes. 5. Les sacs à mains qui détiennent le record avec 64 500 bactéries par centimètre carré.

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